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Peacock, American Apparel

Une antiquité ? Officiellement, oui : depuis qu’ils ont claqué la porte, puis l’ont ré-entrouverte, plus moyen de mettre la main sur les vernis de chez Amap, du moins plus par la voie classique. Mais Internet étant ce qu’il est, moyennant quelques recherches, il est sans doute encore possible de les trouver…et bien vous en prendrait, parce qu’ils étaient fantastiques.

Du coup, tout ça, c'est un peu une lettre d'amour à un vernis disparu. D'un point de vue technique, il est irréprochable et ce sera le cas de chaque référence de la marque dont je parlerai ici. Leur formule a ce quelque chose de prodigieux qui est son opacité en une seule couche (puriste, j'en pose deux) : du coup, elle s'étale uniformément sans jamais aucun surplus de matière. C'est une vraie laque au fini crème, en ce sens que la couleur est pure et unie, et un bon top coat gel lui donnera un effet mouillé. 
Comme tous les vernis American Apparel, il sèche très vite et avec le coup de main de bonnes gouttes séchantes, j'irais jusqu'à dire que c'est une fusée. Quelques mots sur sa longévité ne vous aideront peut-être pas, parce que toutes les marques tiennent bien sur mes ongles (ils sont durs comme du béton), mais je sais qu'ils ont cette bonne réputation. S'ils existaient encore, je finirais par les collectionner tous un à un. Parce qu'ils n'ont aucun défaut. Je vous jure que c'est vrai. 
Ah, Amap. Tu étais incapable de proposer tes basiques à un prix décent, mais tu savais formuler les vernis.


Ici s'achève ma review du premier d'une longue série de vernis de ma couleur favorite (available soon : Cecilewho: Fifty Shades Of Bleu Canard).

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